I got the bad news via
Ludovic Monnerat. The Swiss governement considers the terror gang
Hamas to be a "partner". While the U.S. and the European Union have put Hamas on their respective terror lists, the Swiss Foreign Minister
Micheline Calmy-Rey tries - once more - to aggrandize herself through questionable means. She was the one who laid down flowers on Arafat's grave, an act which was heavily criticized in Switzerland at the time. Socialist Calmy-Rey is also the one who gave birth to the "
Geneva initiative", a project which was supposed to promote peace in that region but which none of the relvant actors in the Middle East ever took seriously. The latest announcement of the Swiss Foreign Ministry relies on "
Oslo" and wants to be "
pragmatic". Nevertheless, Switzerland seems to be unable to recognize reality: "Oslo" is dead since summer 2000 at the latest. Hamas however is one of the worst islamist terrorist groups. It has a genocidal charta and is responsible for
hundreds of civilian deaths over the last years. And now Switzerland is treating it as a partner...
Swiss diplomacy, quo vadis?
Micheline Calmy-Rey would better follow the example of
Laila Freivalds, the Swedish socialist ex-foreign minister and step off the scene.
The announcemement of the Swiss foreign ministry seems not to be available on the Internet yet, but here's its french version:
Développement
Proche-Orient
Le DFAE considère les élus du Hamas comme des partenaires
Encadré
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Berne (ats) La Suisse privilégie une approche pragmatique avec les représentants élus du Hamas dans les territoires palestiniens. «Tous les contacts peuvent ête fructueux et il ne s'agit pas d'y renoncer», estime le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE).
«Le DFAE se soucie tout particulièrement de la détérioration de la situation pour la population civile», a indiqué mardi Jean-Philippe Jeannerat, porte-parole du DFAE, dans l'émission «Forum» de la RSR. Dans ce contexte, des personnalités démocratiquement élues, même issues du Hamas, sont des partenaires d'un «dialogue constructif», a-t-il ajouté.
Il faisait référence à la rencontre du représentant de la Suisse auprès de l'Autorité palestinienne, Jean-Jacques Joris, le 13 mars, avec le président du nouveau parlement palestinien, Aziz Doweik. C'était la première visite d'un diplomate occidental auprès d'un élu du mouvement islamiste.
Le Hamas figure sur la liste des organisations terroristes aux Etats-Unis et dans l'Union européenne. En revanche, il n'est pas considéré comme tel en Suisse, où seul le groupe Al-Qaïda est interdit.
«Faire preuve de pragmatisme»
Le gouvernement palestinien n'étant pas encore investi, «les contacts, dans l'intervalle, peuvent être fructueux et il ne s'agit pas d'y renoncer», a dit le porte-parole, ajoutant: «Dans un contexte aussi difficile, il faut faire preuve de pragmatisme». D'une part dans l'intérêt des civils et d'autre part dans le but de relancer le dialogue entre Palestiniens et Israéliens.
Lorsque le gouvernement palestinien sera investi, la Suisse «jugera sur ses actes». Berne exige que l'action du futur cabinet s'inscrive dans le cadre des accords d'Oslo, le dialogue et la renonciation à la violence.
NOTE: titre et 4e paragraphe nouveaux
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